Quand le malade, ne possédant que des réactions de soutien au niveau du cou et du tronc, ne peut contribuer au déplacement du fait de l’insuffisance de tous ou de plusieurs de ses membres, l’apport du soignant consiste prioritairement à assurer la posture et /ou l’équilibre du malade puis à recourir au juste niveau de force musculaire nécessaire à la trajectoire considérée. C'est le ...