Questionnaire anonyme

La prochaine visioconférence-débat de l’Association Tarnaise de Gérontologie (ATG) portera sur le thème suivant :

Masques et tragédie du mal dans le soin

La question de l’intention

Avec Maylis Dubasque, autrice, médecin généraliste, docteur en philosophie pratique, le mardi 16 janvier 2024 de 18h à 20h. 

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Q1 - Dans son ouvrage intitulé « Masques et tragédie du mal dans le soin » paru en 2020, à propos du langage soignant, Maylis Dubasque s’interroge (p.29) sur la clarté de l’information médicale au patient.

Lors de vos recours à la médecine, avez-vous pu formuler un consentement libre, éclairé et adapté car l’information fournie possédait ces deux dernières qualités ?

Une seule réponse possible

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Si non, comment l'améliorer ?
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Q2 - Pensez-vous que l’annonce d’un diagnostic d’une maladie chronique et grave soit généralement bien faite ?

Une seule réponse possible

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Si non, comment l’améliorer ?

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En ce sens, que propose en 2014 la Haute Autorité de Santé ? 

https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2014-03/guide_annonce_diagnostic_format_court_web.pdf

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Q3- Dans quelle loi trouve-t-on pour la première fois la personne de confiance ?

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Références :

·         Loi Kouchner du 4 mars 2002

·         Loi Leonetti du 22 avril 2005

·         Loi Leonetti-Claeys du 2 février 2016

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Le rôle de la personne de confiance est :
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Q4- Avez-vous entendu parler des « patients experts » aujourd’hui appelés « pairs aidants » ou « patients partenaires » ? Référence ?

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Si oui, que pensez-vous de leur professionnalisation ?

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Q5 - Dans son livre cité ci-dessus, Maylis Dubasque évoque la toilette effectuée sur un mode dégradé. A votre avis, qu’entend-on par-là, ce terme étant aujourd’hui étendu à d’autres dimensions de la prise en soin ?

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Q6 - Maylis Dubasque évoque aussi l’éducation des soignants, médecins ou non, au souci d’autrui : l’empathie. Pensez-vous qu’il soit utile d’y procéder ?

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Si oui, comment ?

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Q7 - Dans quelle loi trouve-t-on pour la première fois le double effet et les directives anticipées ?

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Q8 -  Dans quelle loi trouve-t-on pour la première fois la sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ?

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En quoi la sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès est-elle différente de l’euthanasie ?

Source : https://has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2018-03/difference_entre_sedation_et_euthanasie_web.pdf

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Q9 - Dans la dernière décennie, estimez-vous que l’accès aux soins

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Q10 - Dans la dernière décennie, estimez-vous que la qualité des soins

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Q11 - Pensez-vous que les soignants, médecins ou non, doivent se soumettre aux injonctions des autorités sans exprimer leur désapprobation afin de ne pas effrayer les patients potentiels que nous sommes tous ?

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Q12 - Si vous êtes soignant(e), médecin ou non, est-ce pour vous envisageable d’effectuer des actes d’euthanasie si la loi les dépénalise :

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Ou encore d’aider au suicide une personne qui le désire, dans le cadre des critères indiqués ?

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Cette "évolution" vous paraîtrait-elle :

Plusieurs réponses possibles

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Q13 - Si vous êtes  médecin, pensez-vous faire jouer la clause de conscience si vous êtes en situation de sollicitation pour pratiquer une euthanasie ?

Une seule réponse possible

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Si vous êtes  médecin, pensez-vous faire jouer la clause de conscience si vous êtes en situation de sollicitation pour un suicide médicalement assisté dans le cas où celle-ci serait dépénalisé ?

Une seule réponse possible

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Q14 - Pour celles et ceux qui ne sont pas soignants et les soignants non-médecins : craignez-vous ce nouveau « pouvoir » médical ?

Pour les personnes les plus vulnérables : polyhandicapées ? En état végétatif chronique ? Personnes âgées ? Pour vous-même ? Autres à préciser ?

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Q15 -Toujours dans son ouvrage intitulé « Masques et tragédie du mal dans le soin », Maylis Dubasque écrit à la page 25 :

« L’intention de soigner, protéger, guérir, est incontestable. Et cependant la narration des évènements survenus dans le cadre des soins, d’hospitalisation, ou même d’éducation thérapeutique, peut stupéfier, tant elle décrit chez la personne soignée, déception et désarroi, sentiments paradoxaux d’une violence subie, terriblement éloignée de l’intention initiale des soignants. »

Avez-vous vécu des situations de soins difficiles pour vous ou pour un proche ? 

Si oui, souhaitez-vous décrire anonymement* votre vécu de « déception et désarroi, sentiments paradoxaux d’une violence subie, terriblement éloignée de l’intention initiale des soignants » ? 

*Toute citation de nom, de lieu ou de date serait supprimée lors de la production des résultats de ce questionnaire

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Q16 - Commentaires libres relatifs au thème de ce questionnaire

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Q17- Commentaires libres relatifs à ce questionnaire lui-même

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