Je m'appelle Boris Amiot, je suis coach professionnel depuis 2015.

Depuis le début de mon activité, j'ai accompagné des hommes mais aussi et surtout de nombreuses femmes pour les aider à dépasser des problématiques diverses qui impactaient leur vie au quotidien. Dans mes accompagnements, il n'a jamais été question de travailler sur la maladie, je ne suis pas médecin et ce n'est pas mon domaine d'expertise.

Je travaille avec les personnes sur des thématiques de perte de confiance en soi, burn out, traumatisme, angoisses, difficultés relationnelles, séparation, deuil, procrastination, orientation professionnelle, choix de vie difficile, etc. Les thématiques sont variées car le coaching a un champ d'action très large et tous types de changements sont accessibles avec les outils auxquels je suis formé. L'acceptation de la maladie peut en faire partie.

Il y a plusieurs années, une femme m'a fait part, à la fin de l'accompagnement, qu'elle souffrait d'endométriose et qu'elle avait constaté une très nette amélioration des symptômes de sa maladie entre le début et la fin de notre travail ensemble. J'ai gardé cela dans un coin de ma tête.

Au fil du temps, j'ai rencontré dans ce cadre professionnel d'autres femmes souffrant d'endométriose et j'ai commencé à voir dans mon esprit se tisser des liens entre les histoires de toutes ces femmes. J'ai pu identifier une sorte de profil psychologique, un portrait robot de la femme qui souffre d'endométriose.
J'ai bien conscience que ma vision des choses peut être soumise à des biais et qu'elle ne suffit pas à étayer une base de travail, tout juste à émettre des hypothèses qui demandent à être vérifiées.

La curiosité m'anime en tout premier lieu. Rien ne me semble acquis et le manque de compréhension global des causes de cette maladie laisse la place à toute forme de recherche visant à mieux la cerner. Les évènements de la vie m'ont placé face à une opportunité de questionnement unique par rapport à cette maladie et j'estime avoir le devoir intellectuel et moral de tenter de répondre du mieux que je peux à cet appel.

Cette étude a pour but de tester des hypothèses via des mesures statistiques. ATTENTION : cette étude relève de ma seule responsabilité. Il s'agit juste de vérifier s'il existe ou non des corrélations entre la maladie et certains phénomènes psychologiques. Plus le nombre de participantes sera élevé, plus les résultats seront significatifs.

A l'issue de cette étude, je souhaite en partager les résultats avec les personnes qui pourraient en avoir le plus besoin : les professionnels de santé, les professionnels de l'accompagnement, et les femmes qui pourraient donner du sens à leur souffrance et accéder enfin à une autre relation avec leur maladie et avec leur corps.

Pour toute question, vous pouvez m'écrire à boris.amiot@gmail.com. Merci !!