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On ne s’invente pas paysagiste, ni jardinier, loin de là !Preuve en est, le niveau de compétences dans le secteur augmente constamment depuis 10 ans. Aujourd’hui, près de 86,5 % des salariés détiennent un diplôme, en grande majorité dans la filière « aménagements paysagers » de l’enseignement agricole.Ce qui fait la différence entre deux candidats ? Comme pour la plupart des métiers, la maîtrise de savoir-faire et des règles professionnelles mais aussi, la motivation et le savoir-être : savoir travailler en équipe, savoir communiquer avec les clients sont essentiels dans ces métiers exercés majoritairement sur le terrain, en équipe et par tous les temps.Les recrutements concernent tous les niveaux de diplômes, du CAP jardinier paysagiste au niveau ingénieur, partout en France ; les certificats de spécialisation telles que l’élagage, la maçonnerie paysagère, l’arrosage, par exemple, apportent un plus, tout comme les licences professionnelles.Enfin, la profession participe largement à la formation des jeunes et compte pas moins de 12 % d’apprentis dans ses effectifs salariés.Pour conclure, les entreprises du paysage offrent de réelles perspectives d’embauche et d’évolution aux personnes qui se forment à leurs métiers.